NULLA DIES SINE LINEA

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Quand sa jalousie compulsive vous accuse, vous salit et vous blesse


Quand sa jalousie compulsive vous accuse, vous salit et vous blesse

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Il y a bien un sujet qui me parle que celui de la jalousie

et les dégâts causés dans une relation.

 

Mais qu’est-ce que la jalousie ?

Sinon au départ une menace formulée par l’inconscient.

 

Par définition, la jalousie « classique » est un sentiment

d’envie envers autrui qui possède plus de gloire,

de richesse, de succès, de talent etc…

 

Mais l’autre définition qui m’intéresse et

que je vais aborder ici est la disposition anxieuse

d’une personne qui aime et qui craint que

la personne aimée préfère quelqu’un d’autre

et lui soit infidèle.

 

« La jalousie voit tout excepté ce qui est ».

♥ Xavier Forteret ♥

 

C’est vrai.

C’est surtout lorsqu’elle devient pathologique et maladive

que la jalousie est un véritable cauchemar pour celui

qui la subit mais aussi pour celui qui la vit.

 

En effet, le jaloux maladif imagine,

se voit constamment trahi par son conjoint

et ce dernier a beau se justifier, clamer

ou donner la preuve de son innocence, il n’entend rien,

obsédé par ces images de tromperie.

 

L’obsession est parfois telle que le jaloux maladif

attend l’occasion pour faire les poches et chercher

le moindre indice qu’il ne s’empêchera pas de considérer

comme étant "LA" preuve de trahison.

 

Il observera avec minutie le moindre petit changement

pour se convaincre que l’autre voit quelqu’un derrière son dos.

 

Le fossé alors se creuse dans le couple.

 

L’un habité par son cercle fertile infernal

dont il est prisonnier et l’autre qui en subit injustement

les répercussions et conséquences.

L’engrenage est sournoisement installé…

 

Mais que croyez-vous que l’autre puisse ressentir ?

 

A force d’être constamment analysé sous toutes les coutures,

épié et qu’on lui attribue une image de lui tellement

calculateur, manipulateur, menteur et surtout

tellement moche par rapport à son conjoint qui lui

s’attribue le triste rôle de la victime trompée ?

 

Eh bien tout cela finit par l’atteindre et abimer

son image personnelle ; la fameuse estime de soi.

 

Au final, dans cette équation sordide,

deux personnes souffrent.

 

L’une par sa suspicion et sa méfiance qui détériorent

petit à petit la relation et l’autre qui ne sait plus faire face

ni supporter ces attaques injustes et répétées.

 

Et pour peu que le conjoint, accusé à tort de tromperie,

ait déjà une image de lui au départ perturbée voire compliquée

va seulement accentuer son mal être.

 

Mais jusqu’où va-t-il être en capacité

de pouvoir le supporter ?

 

On développe le sujet ?

 

Alors, en effet dans une relation,

quoi de plus insupportable

que de se croire trompé ?

 

Mais la seconde question qui peut se poser est :

Peut-on aussi être jaloux

parce qu’on se sent soi-même infidèle ?

Sacrée bonne question...

 

Car, souvent avant le mariage, un homme,

grand séducteur, voire séducteur tout court

accumule les conquêtes.

Par définition et nature, il aime la chasse.

 

Quand il se "range", même si son épouse est fidèle,

s’habille et se comporte sans provocation,

il peut néanmoins se révéler terriblement jaloux.

C’est un phénomène assez courant.

 

En fait, "Ce que cet homme projette sur son épouse,

ce sont ses propres désirs"

commente Jean-Pierre Winter, psychanalyste.

 

Eh oui, pour lui, le désir équivaut au passage à l’acte.

 

Donc il se sent coupable, refoule

son envie de la tromper et la lui attribue.

 

Mais comment s’appelle alors cette jalousie ?

 

Il s’agit de la fameuse "jalousie de projection"

que Freud a définie dans son ouvrage

Névrose, psychose et perversion, 1992.

 

Mais, alors, quand tombe-t-on dans le pathologique ?

 

"S’il est légitime, au cours de sa vie, de traverser un

ou plusieurs conflits engendrés par la jalousie,

il faut s’alarmer de ne pas parvenir à quitter cet état de jalousie."

estime Catherine Anthony, psychosociologue.

Par exemple, de s’imaginer, à tort, et de façon obsédante,

trompé par son conjoint.

 

Mais, pourquoi est-il si difficile de renoncer à la jalousie ?

 

Parce que pour beaucoup,

la jalousie est une preuve d’amour.

Si l’autre n’en ressent pas,

il n’est pas rare qu’on le lui reproche.

 

En réalité, la jalousie n’est pas gouvernée

par la seule passion.

Pendant des siècles, elle a été avant tout

une affaire d’honneur à régler entre hommes.

Le Méditerranéen, par exemple, se doit d’être jaloux :

cela relève du code social.

 

"Mais, aujourd’hui, les codes se transforment,

tournant souvent le dos à l’héritage culturel",

explique Catherine Anthony.

 

La "Jalousie" dans certaines langues anciennes

veut littéralement dire « regarder avec un œil mauvais »

 

Oui, nous avons tous des stratégies

"inconscientes" de protection.

 

Certains se blindent au point qu’ils ne peuvent

ou ne veulent plus tomber amoureux :

leur refus d’aimer est un refus d’être trahi.

 

D’autres parviennent à se convaincre

qu’ils gardent toujours la place préférentielle.

 

D’autres encore s’inventent des échappatoires

assez surprenantes comme pousser son conjoint

dans les bras d’un autre et désire assister à la scène.

"Ce n’est pas qu’il ne soit pas jaloux, mais sa jalousie

est au contraire si aiguë qu’il lui faut à tout prix y échapper.

En lui appliquant des figures concrètes, il l’exorcise…"

souligne Michèle Montrelay.

 

Alors, en clair, nous ne pouvons pas

refuser d’être jaloux, mais nous pouvons

refuser de nous laisser détruire par la jalousie.

 

La jalousie tient d’abord au désir de posséder l’autre ;

le jaloux ne veut pas qu’il lui échappe.

Son côté indépendant, il le perçoit comme une menace.

Pourtant être indépendant ne veut dire

en aucune manière volage.

 

Derrière cette volonté se cache en fait un problème :

une dépendance affective.

 

Autrement dit, le jaloux vit une relation fusionnelle

et ne sait pas en réalité être autonome

de l’autre qui lui sert de substitut.

Et il en attend la même chose de l’autre en retour.

 

Sauf que tout ceci n’est qu’une vision faussée de l’amour

puisque l’amour est liberté…

Celle d’être un choix, le choix, tout en s’aimant suffisamment

soi-même pour être autonome, confiant

et non dépendant affectivement.

 

Ainsi, par exemple, se jeter à corps perdu

dans d’autres relations sitôt rejeté voire quitté,

sans même se remettre en question ni l’analyser,

c’est uniquement par peur et pour se rassurer

tant la confiance en soi est endommagée.

 

Comme je l’ai abordé dans mon avant-propos,

j’ai lancé ce site au départ bien évidemment pour moi.

Ainsi, l’écriture a toujours été nécessaire, le moyen catalyseur.

 

Régulièrement je note, j’inscris partout

ce qui me traverse l’esprit voire me bouleverse.

 

L’écriture salvatrice,

celle qui pose en dehors de vous-même

les fameux petits cailloux de "l’émotion négative".

Une façon en somme de se soulager

en ne les gardant surtout pas en soi…

 

La jalousie en dehors de celle qui relève de l’envie

envers quelque chose ou de ce que possède quelqu’un,

je peux en parler car j’en ai subi les affres et conséquences

à travers mon mariage.

Un mariage auquel je tenais.

 

J’ai mis des années à pouvoir enfin en parler.

Il m'a fallu être entendue comme écoutée

pour enfin le tracer.

 

Ce qui compte n’est pas sa durée mais son intensité.

 

L’image de moi-même que me renvoyait mon conjoint

lors de scènes disproportionnées et dégradantes

était tellement moche et insupportable à mes yeux

que j’ai fini, un soir, par tout envoyer valser.

 

Comment lutter face à de telles paroles blessantes,

humiliantes, moi qui étais encore en plus

je dirai une "jeune mariée" ?

 

Je le reconnais.

Mon conjoint que j’aimais n’a jamais été un besoin,

ni une dépendance affective dans ma vie

malgré mon douloureux vécu d’enfance.

 

Non, ce fut un réel choix pleinement assumé,

le choix de vouloir être avec lui et pas un autre.

Une évidence posée.

 

Malheureusement, de son côté,

il avait souffert d’une séparation soudaine

au bout de nombreuses années d’un précédent mariage.

Son épouse avec laquelle il avait encore eu une relation charnelle

le matin partit avec un autre le soir même.

 

Face à cette trahison, il fit alors le choix "mine de rien"

et par pur orgueil masculin de se lancer, corps perdu,

à faire de nouvelles rencontres.

L’une d’elles fut moi...

 

De mon côté, je suis de nature indépendante.

Pas par volonté du départ mais il est vrai

que je me suis faite toute seule car la vie ne m’a

absolument fait aucun cadeau dans tous les sens du terme.

 

Je suis une personne aussi très réservée en amour

faute d’avoir été dorlotée et choyée.

 

Ainsi, j’ai du mal à exprimer ce que je ressens

ou en parler avec l’autre tout court.

 

Il faut rappeler que je n’ai pas parlé

jusqu’à l’âge de mes 13 ans.

Mon image personnelle a souvent été un obstacle

dans ma façon d’être envers les autres.

J’en suis consciente.

 

Mais pour autant, je n’ai jamais été

une personne envolée, joueuse, frivole et volage.

D’ailleurs pour en sourire, le signe de la vierge a horreur

de tout ce qui est "aventure".

Il est vrai que du fait de mon douloureux parcours,

je suis devenue solitaire, je me protège énormément.

D’où justement l’importance qui ressort dans l’acte d’ouvrir

ma porte et mon cœur à quelqu’un.

Il faut vraiment que je l’aime beaucoup, beaucoup…

 

Ce travail d’écriture depuis quelques années

m’a beaucoup aidée et permise

à extérioriser mes sentiments.

 

Il faut dire qu’il me disait des choses terribles

dépassant l’entendement et faisait d’un détail «la preuve »

irréfutable de ce qui en fait n’existait pas

excepté dans son esprit.

 

"La jalousie est de toutes les maladies de l’esprit

celle à qui le plus de choses servent d’aliment

et le moins de choses de remède".

♥ Montaigne ♥

 

Il ne s’était jamais comporté ainsi avant notre mariage.

En capricorne qu’il est, il n’était pas facile mais pas à ce point-là

quand il commença réellement à déraper.

Ce fut très dur.

 

Nous nous étions séparés une première fois

et il semblait sincèrement repenti, désireux de s’excuser

sur ce qu’il m’avait déjà dit pour une histoire de lingerie

lavée dans un bain.

 

Sa maman m’avait appelé pour me parler de son état,

qu’il n’était pas bien et qu’il était sous anti dépresseurs.

Je l’aimais. C’était mon mari.

Même si j’étais blessée et furieuse, j’ai bien évidemment foncé

car j’ai naïvement pensé que c’était une affaire enfin réglée.

Un simple raté comme il en existe dans beaucoup de couples.

 

Au lieu de cela, après ce break, les scènes ont repris

et la suspicion nauséabonde aussi.

 

La dernière fut d’une violence dans les mots accusatoires inouïe.

Je m’en souviens encore tant

elle m’a marquée et surtout impactée.

 

Au cours de la dispute qui démarra sur un papier à remplir,

je devais soudainement lui expliquer la présence d’une tâche

sur la porte de l’armoire dans la chambre à coucher qui,

selon lui, n’était pas avant notre séparation !

 

Bloquée sur le moment par une telle demande

qu’il avait lancée en hurlant, c’est lorsque j’ai réalisé la folie

de ce qu’il sous entendait et surtout de toute évidence

il se convainquait, une puissante montée de dégoût

et de rage me submergeât.

 

J’ai eu vraiment l’impression d’être sale,

engloutie sous un tsunami de boue qu’il me jetait au visage !

Sans parler de son regard…

Il était mauvais, noir et son visage était défiguré.

 

J’étais sa femme et il me traitait comme une mien que rien.

Il n’en avait pas le droit.

Je ne m’étais pas mariée pour entendre

et vivre des scènes comme celles-là.

Je n’aborderai pas ici certaines paroles dites en prime

qui ont dégoupillées ma réaction.

 

Eh oui, le "je t’aime, je t’abime"

ne dure qu’un temps.

 

Car chacun a son seuil limite du supporté selon son vécu

de son passé dont il est fait et impacté.

 

"Plus grande est la sensibilité,

plus grand est le martyre."

♥ Léonard de Vinci ♥

 

Alors, non, j’avais le droit de dire "NON" à tout cela.

Le respect où était il passé ?

 

Ce jour-là fut la vision d’enfer de trop.

Il avait même réussi à me faire hurler

moi qui ai horreur des cris et des conflits.

 

M’accusant d’être "malade" convaincu

que je le prenais pour un con, je me revois à bout

lui dire que je ne voulais plus le voir pour lui faire

sur le moment autant de mal que celui qu’il me faisait

et dont il ne faisait absolument rien pour en sortir

quoiqu'il ait pu dire pour se racheter.

 

Je voulais être ailleurs, disparaître mais surtout

ne plus être là dans la même pièce pour lui faire enfin

percuter la folie, l’absurdité de ses propos qu’il me faisait subir

et par ricochet "nous faisait" endurer.

 

Ce que j’ai eu surtout longtemps en travers est

que s’il n’avait pas confiance en moi, dès le départ, 

il n’avait pas le droit de me demander de l’épouser !

Je n'étais pas un jeu ni un exutoire

livrée aux stigmates de son mariage passé.

Et, mes sentiments,

qu'est-ce qu'il en faisait ?

 

Car sur le fond, ce n’était pas honnête

puisqu’il n’avait pas réglé les démons de son passé

nés sans aucun doute de sa séparation brutale

avec sa précédente épouse.

 

Notre mariage aurait dû pourtant le rassurer par

l’engagement acté que je lui avais pleinement donné.

 

Mais, en réalité, c’est moi qui ai payé

en souffrance et répercussions le prix fort

de la note parce qu’elle l’a, elle, trompé.

 

Et je ne la juge pas pour autant car en définitive

je ne la connais pas.

Un seul son de cloche à mes yeux

ne fera jamais une vérité.

Après tout que c’était-il réellement passé entre eux ?

Je ne le saurai jamais.

 

Quoiqu’il en soit, j’étais et je suis différente.

Il n’y avait donc aucune raison qu’il revive la même chose

mais il s’en était, par je ne sais quelle folie, persuadé.

 

D’où encore une fois la prudence de se jeter

dans de nouvelles relations sitôt séparé, les fameuses relations

 "kleenex" dont je parle dans un autre article sur le site.

 

Seulement, le plus grave, ses accusations, ses paroles inqualifiables

m’ont blessé énormément au point d’en réveiller

une profonde blessure du passé.

 

En effet, là, et sans aucun doute ce qu’il n’a pas vu,

c’est que je me suis sentie de nouveau touchée,

ébranlée, après tant d’années à avoir tout fait

pour me relever et reconstruire l’image personnelle

de la petite fille abandonnée que j’avais été.

La fille dont on n’a pas voulu et qu’on a rejetée

faute de pouvoir l’aimer.

 

Autant professionnellement, j’ai toujours eu une assise

faite d’assurance endossant une image de représentativité

autant personnellement, certains moments peuvent être

plus délicats à passer.

 

Il m’a mise tellement en colère,

révulsée et abimée ce 5 octobre là

que je me suis alors de nouveau verrouillée.

Simplement pour me protéger.

 

L’électrochoc avec le temps

ne s’est pas non plus produit.

La logique aurait voulu qu’il réalise les horreurs

qu’il avait dites et "nous" avait infligées.

Après tout, nous étions toujours mariés.

 

Car quoiqu’il ait pu s’imaginer, je n’ai pas agi par réaction

sans l’action terrible qu’il avait lui-même déclenchée.

 

Non…

Lui de son côté a rapidement fait ce qu’il a toujours fait.

A savoir se jeter corps perdu dans de nouvelles rencontres

sur le net oubliant, sans mal, tout le mal qu’il m’avait fait.

 

"Je t’aimais" dit le cœur et "regarde ce que tu en fais"

 

Double peine.

Deux fois poignardée injustement par "un quelque chose"

qu’il m’a accusée, rhabillée et que je n’ai pourtant jamais fait.

 

Le plus triste dans tout cela, c’est ainsi moi qui,

en définitive, ai toujours été trompée au final.

 

Conforté par son obsession, sa méfiance et sa suspicion,

il se donnait envers et contre moi "toutes les bonnes raisons"

pour faire de nouvelles rencontres et passer à l’acte

dès qu’un couac, un break ou une crise survenait.

 

Quelle ironie du sort que la vie peut parfois vous réserver

mais ô combien vous marque à tout jamais.

 

Ce pourquoi, aujourd’hui, je sais que malheureusement,

aucun conjoint n’a, seul, les moyens d’aider le jaloux

à sortir de son schéma obsessionnel.

 

L’inquiétude de celui-ci demeure, incontrôlable,

obsédante et, surtout, croissante.

 

On commence par lui jurer qu’on l’aime,

qu’aucun autre ne peut nous attirer, mais ça ne suffit pas.

 

Au contraire, rentrer dans son jeu en tentant de se justifier

à ses yeux sur un "existe pas" alimente et nourrit le mal

qui le ronge inexorablement tel un virus mortel inoculé.

 

Face à la jalousie compulsive de l’autre qui,

en définitive se sous-estime, on représente alors

celui qui ment et qui n’existe plus autrement

que dans le monde inventé de ses propres tourments.

 

Un témoignage personnel mais comme il en existe

bien évidemment plein d’autres.

 

Alors surtout, si vous êtes dans la spirale,

à vous de savoir de suite imposer vos limites

afin que votre image personnelle et votre confiance

en vous-même ne subissent jamais les frais ni les dégâts

de ce monde destructeur qu’est celui de la jalousie…

 

 

Enfin, je terminerai par quelques conseils

de bon sens et surtout de bonne volonté

pour que tout jaloux amorce une reconstruction

et sortir du cercle infernal

qui risque de détériorer bien davantage

et injustement blesser l'autre...

 

√ Cessez de vous torturer

 

√ Interdisez-vous de fouiller dans ses affaires.

 

√ Vous trouverez toujours de quoi aiguiser votre jalousie :

car pour le jaloux, tout est preuve !

 

Repensez aux premiers moments de votre rencontre

et tâchez de retrouver le sentiment de confiance

qui vous animait alors.

Cela vous évitera de sombrer dans la paranoïa.

 

√ Ayez enfin conscience que le couple que l’on forme

avec quelqu’un est chaque fois unique.

Ce qui se passe entre deux personnes précises

ne peut jamais se rejouer de la même manière.

Jamais...

 

 

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25/02/2017
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