© - 2016 - Le sourire atrophié de la désillusion
Lorsque ta vie est une succession de chagrins
Qu’elle te mène lentement aux portes du noir.
Lorsque ta vie ne te donne jamais rien
Qu’elle ne t’offre que du décevoir.
Lorsque ta vie est devenue tel un cube
Qu’elle t’y enferme dans le sans espoir.
Lorsque ta vie est une chaîne incube
Qu’elle te dépossède de ton avoir.
Lorsque ta vie t'inflige le contraire de tes valeurs
Qu’elle ne t’apporte que de l’illusoire.
Lorsque ta vie n’est qu’aversion et destruction
Qu’elle te malmène, te broie en déperdition.
Lorsque ta vie blesse le petit enfant, sans peur,
Qu’une partie de toi est toujours restée.
Bien au-delà des limites du désespoir
Alors là, tu sais, que tu es allé.
Et, que pour ces raisons, en somme-addition,
Passé les portes prison de la révélation,
Te voilà désormais en mode affliction.
Te voilà marqué à tout jamais par l’expression
De la fermentation, d’un futur appréhension.
« Mal » dit le cœur
« Je turbine de larmes en chapelet de la répulsion »
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